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duong tam kien

Ouvrir un éditeur de texte. Respirer. Attendre que les mots reviennent les uns après les autres dans l’espoir de les voir raconter quelque chose. Une histoire qui trainerait au fond de l’esprit. Un texte que l’on voudrait écrire depuis des lustres et que l’ont ressasse malgré le vide des pages et des carnets qui s’accumulent. Quelque chose se perd quand l’écriture n’est plus au centre. La lecture déjà, j’ai l’impression de beaucoup moins lire même s’il me faut peu de temps de pour atteindre à nouveau une certaine rapidité. J’ai surtout l’impression d’avoir envie de dire bien que cela semble avoir été substituer par une envie de faire. La contemplation devient alors quelque chose de sublimement étrange quand disparaît l’impératif d’en tirer quelque chose.

Aujourd’hui, je tenais surtout à mettre, ici, un lien vers le récit du voyage de Florian dans ses noticias íntimas. Cela fait toujours plaisir de lire et de voir que ses mots loin d’avoir disparu continuent de grandir.